Kiko ma Grisou mon Amour

ho oui ça fait bien longtemps que je n'ai pris le temps de venir ....

 

et il y en a eu des changements...  de nouveaux compagnons de vie, des changements professionnels... bref même si l'on n'y pense pas ou qu'on en a pas conscience, la vie continue son cour et le temps passe bien vite...

 

je vais tenter de faire l'effort de venir ici plus souvent, dans mon "jardin pas trop secret 

 

mais commençons par le début... la famille "plumos" s'est considérablement agrandit avec l'arrivée de nouveaux pensionnaires... Orphée, ma tite femelle youyou, Prunelle une femelle princesse de Galles, Tito et Rosabelle, qui sont parents depuis cet après midi, des ondulées, qui couvent également, et un couple de perruches splendides.... je tenterai de dédier un post à chacun afin de vous les présenter comme il ce doit

 

je ne bosse plus depuis le 15 octobre... je me consacre à la recherche d'un nouveau job, à mes enfants et bien évidement à mes loulous à plumes... et au mois d'avril 2010, notre petite Isis nous a quitté tragiquement et subitement d'une sorte d'hépatite rare.... nous pensons à elle tout les jours et l'avons ramené à la maison, sa maison...

 

les garçons poussent comme des champignons et Jérémy est à présent plus grand que moi... il n'a pas eu de mal... il est en 4ème et travaille bien, et Romain est entré au CP lui aussi travaille très bien...

 

nous préparons les fêtes qui s'annoncent encore une fois bien chargées entre les visites, les cadeaux, et tout ce qui va avec....

 

voilà je vais arrêter là pour le moment et reviendrai plus tard vous présenter mes nouveaux "colocataires"...

Contention de l'oiseau
(extrait du livre "petit guide de soins d'urgence de la perruche à l'ara
de Johanne Vaillancourt)


Agir rapidement, ne pas tresser l'oiseau inutilement.

1. Préparez le matériel dont vous aurez besoin

2. Si l'oiseau est très nerveux, on peut baisser l'intensité de la lumière
    (plus facile à attraper, mauvaise vision dans le noir, instinct de proie)

3. Attrapez l'oiseau dans une serviette.

4. Prenez la tête d'une main, le pouce sous le bec et l'index sur la tête :

• Ne pas obstruer les narines
• Ne pas faire de pression sur la trachée

5. De l'autre main, enroulez le corps de l'oiseau avec la serviette

• s'assurer que les ailes sont bien fermées et sans une position naturelle
• ne pas faire de pression sur le jabot ou la poitrine
• tenir la tête de l'oiseau en position légèrement surélevée

6. Tenez l'oiseau fermement pour qu'il ne puisse pas se débattre.

NE PAS UTILISER DE FORCE EXCESSIVE !

Ara Maracana ou Ara de Illiger

L'Ara est le perroquet qui a donné les meilleurs résultats en captivité : un couple soudé, un bon logement, un bon nid et un régime équilibré, associé à l'élevage à la main, dès les  premiers jours de vie, sont les conditions nécessaires pour pouvoir réaliser plusieurs pontes par saison.

Pour obtenir des pontes abondantes, certains éleveurs retirent les oeufs des deux premières dépostions (ils les font éclore artificiellement ou utilisent une petite poule comme couveuse), en laissant la femelle Ara couver seulement la troisième déposition. Les petits de la troisième ponte sont élevés eux aussi artificiellement : en effet, la saison avancée empêcherait les parents de sevrer leurs petits tout en respectant le cycle de vie naturel (mue et repos avant la saison de reproduction suivante), au grand dam des petits et des reproducteurs.

Famille : Psittacidae
Sous-famille : Psittacinae

Le genre Ara comprend un groupe de perroquets au corps solidement structuré, à laa queue longue et de taille variant de 30 à 90 cm selon les espèces. Ils habitent généralement dans les milieux de la forêt primaire, où ils fréquentent les arbres les plus hauts pour se nourrir et s'abriter.

Certaines espèces se sont bien adaptées à la vie en captivité, d'autres sont assez rares, même à l'état sauvage...


Description :

Le plumage est à prédominance verte, le front est rouge, la couronne bleu ciel, la face nue et blanche, le ventre rouge, le bec noir. L'iris orange, les rectrices et les rémiges bleuâtres et brunes. Il mesure près de 46 cm et ne présente aucun dimorphisme sexuel.

Habitat naturel :

Son habitat naturel est constitué de forêts primaires et de forêts-galeries qui longent les fleuves. Il se déplace en couple ou en petits groupes qui, le soir, se rassemblent sur les arbres-dortoirs avec d'autres bandes et d'autres couples, formant des groupes très nombreux.

Répartition :

Il vit dans une vaste aire du centre-ouest de l'Amérique du Sud, où l'espèce se trouve menacée. Assez commun jusqu'en 1970, il a subi par la suite un déclin rapide,qui ne peut pas être expliqué par la seule destruction de son habitat. Il est également rare en captivité.

Psittacula Krameri ou Perruche à Collier

Famille : Psittacidae
Sous famille : Psittacinae

Description :

C'est la perruche la plus connue et la plus répandue. Elle mesure près de 40 cm et présente un plumage à prédominance verte. La queue est nuancée d'azur, une fine ligne noire relie la cire aux yeux, la mandibule inférieure est noire et la mandibule supérieure est rouge avec une pointe noire. L'iris est jaune. Le mâle se distingue de la femelle par la présence d'un collier rose nuancé de violet sur la nuque et d'une bande noire qui s'étend du bec au cou.

La femelle a également une coloration plus pâle et les rectrices centrales plus courtes. Les junéniles ressemblent aux femelles. Elle est répertoriée en quatre sous-espèces qui ne présentent que de légères différences :

1. P.k. krameri, espèce de référence décrite ci-dessus,
2. P.k. parvirostris, qui se caractérise par un bec plus petit,
3. P.k. borealis, qui se distingue par le violet de la nuque, plus étendu, et virant au gris,
4. P.k. manillensis, semblable au P.k. krameri, mais légèrement plus grand et avec le bec plus large

Habitat naturel :

Dans son aire de répartition, elle vit dans les savanes arborées, dans les fourrés, dans les forêts secondaires et elle fréquente également les jardins et les champs cultivés. Elle est sédentaire, mais, dans les zones agricoles, on assiste à des migrations locales, suivant la saison des récoltes.

Sociable et grégaire, elle forme des rassemblements qui peuvent dépasser les 1.000 individus, et qui choisissent de grands arbres comme dortoirs. Elle est considérée comme nuisible pour les récoltes, surtout pour les plantations de céréales, de café et pour les potagers.

La saison de reproduction s'étale d'août à novembre, pour les populations africaines, de décembre à mai, pour les populations indiennes et de novembre à juin pour les populations du Sri Lanka. En Afrique, elle nidifie toujours dans le creux d'un arbre, ou dans un nid de pic abandonné ; en Inde, elle aménage également son nid sous les toits ou dans les fentes des murs de vieilles maisons.

La femelle pond 2 à 6 oeufs et commence à couver dès la ponte du premier oeuf. La couvaison dure 24 jours et les petits s'envolent à l'âge de 6-7 semaines.

Répartition géographique :

Il vit dans le centre-nord de l'Afrique ; de la Guinée au Sénégal, à la Mauritanie, à l'Ouganda, au Soudan, en Ethiopie et en Somalie (P.k. krameri et P.k. parvirostris) ; en Asie, du Pakistan occidental à l'Afghanistan, en Inde, au Népal, en Birmanie et au Sri Lanka (P.k. borealis et P.k. manillensis).

Il a été introduit avec succès à l'île Maurice, à Zanzibar, en Egypte, en Oman, au Koweït, en Irak, jusqu'au sud-est de la Chine et à l'Europe. Il est très populaire aussi bien à l'état sauvage qu'en captivité, où une grande variété de mutations (de couleur jaune, blanc et bleu a été sélectionnée.

PSITTACULA KRAMERI BLEU

PSITTACULA EUPATRIA ou Perruche Alexandre

Psittacula : ce genre comprend 15 espèces de perroquets de forme sauvage et de taille moyenne Excellents voiliers, ils sont répandus en Afrique et en Asie, où ils affectionnent les forêts peu denses et les fourrés aux abords des cours d'eau. Certaines espèces sont abondamment élevées en captivité, où d'intéressantes mutations ont été sélectionnées.

Famille : Psittacidae
Sous-famille : Psittacinae

Description : Perroquet imposant, aussi bien pour sa taille - il mesure près de 58 cm (en raison notamment de sa longue queue) - que pour son bec massif. Il a un plumage à prédominance verte, la queue est nuancée d'azur, et le dessous de la queue est jaunâtre. Les ailes sont vert foncé, avec une tache violacée visible sur l'épaule. Le bec est rouge, l'iris jaune et les pattes sont gris clair. Le dimorphisme sexuel est évident : le mâle a le menton noir se prolongeant sur la base du collier rose-bleu ; sur la nuque, au dessus du collier, on aperçoit une tache, plus ou moins large selon les sujets et la sous espèce, de couleur azur gris. Ces colorations sont absentes chez la femelle, qui est aussi légèrement plus petite, et qui montre des rectrices centrales plus courtes.

Les jeunes ressemblent à la femelle, mais les mâles se distinguent par leur grande taille. On reconnaît cinq sous espèces assez semblables :

1. P.e. eupatria, espèce de référence, qui présente une coloration azur sur la nuque et le cou assez étendue,
2. P.e. nipalensis, il affiche une plus grande taille et moins d'azur sur la nuque et sur le cou que l'espèce de référence,
3. P.e. magnirostris, semblable au P.e. eupatria, il s'en distingue par un bec plus grand, le rose sur la nuque plus étendu et l'azur plus réduit,
4. P.e. avensis, cette espèce a le bec légèrement plus petit, le vert sur le visage est plus pâle, ainsi que l'azur sur la nuque, qui est également moins étendu,
5. P.e. siamensis, la coloration générale du plumage est plus pâle, l'azur sur la nuque est moins étendu, et elle présente des reflets jaunâtres sur le plumage du cou et des parties inférieures.

Habitat naturel :

Son habitat comprend les forêts humides, primaires et secondaires (des forêts-galeries aux fourrés des savanes).  On le rencontre également dans les jardins et dans les champs cultivés. Il vit en couple ou en petits groupes familiaux, dans la journée, mais forme de grands rassemblements le soir, pouvant atteindre plus de 1.000 individus, qui se réunissent sur des arbres gigantesques qui leur servent de dortoirs. Durant la période de reproduction, les couples s'isolent davantage, mais il est assez rare commun que, sur un grand arbre, plusieurs d'entre eux puissent trouver une cavité où nidifier.

Répartition géographique :

Son aire de répartition, où il est généralement commun, est très vaste et comprend l'Afghanistan, le Pakistan, l'Inde et toute l'Indochine. La population a régressé au Sri Lanka à cause de la déforestation, de la croissance démographique, de l'expansion des aires cultivées, et de la collecte des jeunes au nid. Il est largement répandu en captivité, où il se reproduit assez fréquemment. Ce serait Alexandre le Grand qui aurait introduit pour la première fois ces oiseaux en Europe.

POICEPHALUS SENAGLUS ou Youyou du Sénégal

POICEPHALUS : Le genre Poicephalus comprend neuf espèces de perroquets de taille moyenne, au corps robuste et à la queue en spatule, dont certains se sont bien adaptés à la vie en captivité. Ils ont colonisé des vastes aires en Afrique, et se sont adaptés aussi bien aux forêts primaires (arbres hauts et moyens, assez épais), qu'aux forêts secondaires (arbres et sous-bois clairsemés). Ils affectionnent également les savanes (riches en arbres isolés et en buissons), les forêts riches en sources d'eau, les forêts de palmiers et de mangroves, et les forêts-galeries (bandes forestières humides qui longent des cours d'eau).  Je parle ici de Poicephalus Senegalus, appelé plus communément Youyou du Sénégal.


Description : Perroquet compact et agile, il mesure près de 23 cm. le plumage est vert vif, plus intense dans les parties supérieures et jaune virant à l'orange sur les parties inférieures. La tête présente une capuche grise, le cou est vert pâle ainsi que les culottes. Le bec est gris et l'iris jaune. L'espèce présente un léger dimorphisme sexuel : le dessous de la queue est jaune chez le mâle et vert et chez la femelle. Le plumage des jeunes est plus terne.

On recense trois sous-espèce :

• P.s. senegalus, espèce de référence, avec la partie ventrale jaune citron vif,
• P.S. versteri, avec la zone ventrale orange vif,
• P.s. mesotypus, avec le jaune de la partie ventrale virant à l'orange.

Habitat naturel : Il habite les savanes arborées et arides, ainsi que les forêts ouvertes, riches en baobabs (Adasonia digitata). Il vit en couple ou en petites bandes de 10 à 20 individus, qui effectuent parfois de petites migrations locales, du nord au sud, pendant les saisons sèches. Il se nourrit de graines, de fruits (il est friand de figues), de pousses et de bourgeons. La période de reproduction coïncide avec la fin de la période des grandes pluies, et s'étale de septembre à novembre. Il construit généralement son nid dans la cavité d'un baobab.

La femelle pond de 2 à 3 oeufs, qu'elle couve pendant 28 jours. Les jeunes quittent le nid vers l'âge de 9 - 10 semaines.

Répartition géographique : Il est répandu dans l'Afrique centro-occidentale, dans la bande sud-saharienne qui va du Sénégal au Tchad. Il est commun aussi bien à l'état sauvage qu'en captivité, et on enregistre une forte présence de sujets capturés et vendus sur le marché. La reproduction en captivité, bien que facile, est peu pratiquée.

Rubis Youyou né chez Mme Martine Hujeux (éleveur dans le nord) - Photo de Mme Hujeux

FORPUS CEOLESTIS

Famille : PSITTACIDAE
Sous Famille : PSITTACINAE

Forpus : Groupe de sept espèces de perroquets, caractérisées par leur taille réduite (12 à 14 cm), une silhouette robuste et trapue, avec queue courte et effilée. Ils présentent un plumage vert, paré d'autres colorations, jaune, azur et bleu, suivant les espèces. Il existe un dimorphisme sexuel. Très aimées et étudiées et très répandues en captivité, certaines espèce de Forpus sont très populaires, et des mutation de couleur, jaune et bleu, ont été sélectionnées. Je parle ici de Forpus Coelestis ou Touï Céleste.

Description :Sur le vert du plumage (livrée de la femelle), le mâle arbore des rémiges, un croupion et une ligne derrière l'oeil (foncé) de couleur bleu ciel. Le bec et les pattes sont gris-rose. Il mesure près de 12 cm.

Habitat naturel : Son habitat est constitué de zones boisées et sèches, et de forêts secondaires. Il vit en  petits groupes familiaux qui se rassemblent en volées. Les couples s'isolent de janvier à mai, pendant la période de reproduction. La femelle dépose 4 à 6 oeufs dans un nid construit dans le trou d'un arbre, sous les toits, ou bien dans les nids abandonnés d'autres oiseaux. Elle peut mener jusqu'à deux couvées. Les oeufs sont pondus tous les 2 jours, couvés pendant 17 jours et les petits quittent le nid vers l'âge de 5 semaines.

Répartition : Il vit entre l'Equateur et le Pérou. Il est commun, très apprécié et élevé en captivité.

Edith (en vert) et Marcel (en bleu) Forpus Coelestis - Photo perso.

Les perroquets sont des oiseaux fascinants.

Leur sociabilité, leur bon caractère, leur plumage somptueux et leur capacité à imiter le langage parlé ont toujours exercé sur les hommes un grand attrait.

Mais l'enthousiasme que l'on éprouve pour ces oiseaux intelligents ne doit pas entraîner un achat irraisonné qui peut se terminer tristement. Des erreurs d'élevage sont fréquentes, le perroquet reste craintif et se met à crier ou même à s'arracher les plumes. In ne suffit pas d'aimer les perroquets, il faut aussi apprendre à les élever.

Posséder un perroquet ou une perruche implique bien plus de responsabilités que ne le réalisent la plupart des nouveaux propriétaires; Le degré d'engagement nécessaire pour qu'un perroquet ne développe des troubles du comportement est extrêmement élevé.

La plupart des acquéreurs potentiels ont tendance à considérer les perroquets comme des objets beaux ou amusant, et non comme des individus dont les émotions sont presque aussi complexes que celles des êtres humains.

Ce sont des créatures extrêmement sociables, pour lesquelles il est vital d'entretenir une relation étroite avec un humain ou un congénère. Lorsqu'ils sont heureux, ils peuvent être les plus merveilleux des compagnons, mais privés d'une telle relation, ils deviennent rapidement tristes et stressés et finissent par être rejetés par leur propriétaire. Il est alors souvent trop tard pour leur trouver un nouveau foyer.....

5 ml de sel de table
40 ml de sucre
jus d'un citron ou d'une orange
1 litre d'eau préalablement bouillie

en cas d'extrême urgence
si nous n'avons rien de tout ça
un mélange d'eau chaude (pas directement du robinet)
à 40° et du sirop de maïs sont mieux que rient du tout.

sauf en cas d'insolation ou coup de chaleur

Les états de choc sont causés par :

• les saignements,
• les traumatismes,
• la peur,
• la perte de fluides,
• les infections,
• les accidents,
• les brûlures...

Symptômes :

• faiblesse
• plumes ébouriffées ou gonfflées
• respiration bruyante, rapide
• yeux vides

1. Isolez l'oiseau de ses congénères s'il y a lieu
2. Placez l'oiseau dans une "cage hôpital" : cage assez grande pour lui, mais assez petite pour restreindre les mouvements de votre Coco, facile à chauffer et à couvrir, ou un incubateur commercial ou encore un aquarium (en fonction de la taille de l'oiseau) et installez le tout dans une pièce calme et sans agitation
3. Enlevez le gravier, les os de seiche et les blocs minéraux : l'oiseau pourrait instinctivement en manger et risquerait d'aggraver sa situation
4. Enlevez les jouets, perchoirs ou branches (si l'oiseau n'est pas assez fort pour se percher) ainsi que tout autre objet sur lequel le perroquet pourrait se blesser
5. Couvrez la cage sur 3 côtés ainsi que le dessus
6. Elevez l'humidité à 70% et la température ambiante de l'installation à 29/32° pour un oiseau adulte et à 34° pour un bébé de moins de 10 jours

Un oiseau en état de choc tombe rapidement en hypothermie. On peut placer un coussin chauffant sous la cage (jamais à l'intérieur, l'oiseau risquerait de gruger le fil électrique). Evitez de réchauffer la cage hôpital à l'aide d'une lumière chauffante ou d'une ampoule électrique, cela occasionnerait beaucoup de stress pour l'oiseau. Si vous chauffez la cage hôpital ou l'aquarium avec un coussin chauffant électrique sous l'installation, prévoyez une épaisse couche de couvertures à mettre au fond afin d'éviter que l'oiseau ne soit en contact direct avec la source de chaleur (brûlure, hyperthermie).